La machine à sous a été inventée à San Francisco en 1898. Et bien l’invention de Charles A. Fey en aura fait du chemin depuis le 19eme siècle. Peu à peu remplacées par leur cousines les machines à sous vidéo, elles dominent aujourd’hui l’offre des casinos en ligne. Mécaniques ou contrôlées par ordinateurs, comment les machines à sous marchent-elles ? la rédaction vous explique tout sur ces petits bijoux de jeu qui font tourner les têtes.
Si les machines à sous ont grandement évolué durant les dernières décennies, ce qui n’a pas changé, en revanche, c’est leur principe. Pour les utiliser, rien de plus simple, pour activer les rouleaux présentant les symboles de la chance, actionnez la manivelle où appuyer sous le bouton « jouer ». Mettez en place vos lignes et combinaisons gagnantes, misez puis la machine fait le reste !
Habituellement de 3 à 5 rouleaux, voici tout ce qu’il y a à savoir sur les machines à sous.
Machines à sous : un peu de mécanique
La machine à sous classique est un mélange de leviers, de crans et de ressorts. Ils permettent d’activer un élément central. Il s’agit d’un arbre qui supporte les rouleaux. Cet arbre est fixé à un levier qu’il conv
ient de pousser pour actionner la rotation. Les rouleaux s’arrêtent ensuite par système de freinage. Des capteurs communiquent enfin la position exacte des rouleaux au système de paiement. Le détecteur de jetons ou de pièces permet ensuite de débloquer le levier pour un nouveau round.
Mais pour le joueur, c’est beaucoup plus simple. Il suffit au joueur d’introduire une pièce dans la fente et d’actionner le levier. Puis les rouleaux commencent à tourner. Les machines à sous vidéo fonctionnent sur le même principe, mais avec des pièces plus perfectionnées. En tout cas, à la fin de la rotation la machine doit définir le gain.
Machines à sous : Gestion par ordinateur
La majorité des vidéo slots ont la même apparence que les machines à sous classiques. A une différence près, elles sont contrôlées par ordinateur.
C’est l’ordinateur qui utiliser des moteurs chargés de faire tourner les rouleaux. Il fini par les arrêter à un point déterminé. Ces machines sont en plus équipées d’un RNG, un générateur de nombre aléatoire. Ce dispositif produit des suites de chiffres de façon purement fortuites. De façon à conserver les mêmes probabilités de gagner pour les joueurs à chaque tour. Les machines à sous équipées de systèmes contrôlés par ordinateurs sont devenues plus adaptables. Au lieu de devoir y entrer des jetons, les joueurs mettent en jeu directement leur argent depuis leur compte. Pas besoin donc de faire tomber et de ramasser chacun des jetons. Mais surtout, avec ce procédé, les joueurs peuvent faire suivre leurs gains et leurs pertes plus aisément.
Machines à sous : les code couleur de leurs lumières
Chaque lumière située au-dessus d’une machine à sous à une signification. Pensiez-vous vraiment que cette lampe située au sommet de la machine existait seulement pour faire joli ? Et bien non, chaque couleur à un sens. Par exemple lorsque la lumière jaune apparait, c’est le signe pour le joueur d’actionner la machine. Cela signifie qu’un assistant du casino est appelé pour venir vous proposer son aide. La lumière rouge en revanche n’est jamais bon signe. Cette couleur indique que la machine est en panne et qu’il vaut mieux en change rapidement. Même s’il s’agit de votre machine préférée. Tandis que la lumière verte, elle, indique que le paiement sur la machine doit obligatoirement s’opérer de façon manuelle.
Machines à sous : des appareils vérifiés ?
Pensiez-vous vraiment qu’il était possible de proposer des machines à sous sans qu’elles fassent l’objet d’une surveillance minutieuse ? Mais non pardi. Toutes les entrées, les sorties, les recettes, le taux de paiement annuel, le taux de redistribution etc…Chaque nombre de coup joué est évalué parce que l’on appelle des compteurs. Ils sont chargés d’enregistrer l’ensemble de ces données collectées régulièrement par les agents envoyés par le ministère de l’intérieur. De quoi s’assurer du respect des règles de la part du casino inspecté.